°...I want to know something...What happening, this day ?...°

C'est un beau matin que moi, Kisuke Urahara, je me réveillais. J'habitais
dans une petite cabane non loin du centre ville de Iwa. J'habitais seul avec mon chat, Tijer, qui était mon seul compagnon nocturne, si dans la nuit je me réveillais, et que je ne trouvais plus le sommeil. Ce chat là, je l'avais retrouvé à moitié mort dans la forêt, pendant une mission de rang A, ou l'on devait tuer un dangereux déserteur. J'avais décidé de ramener et de ramener ce chat, sûrement blessé par un kunai lors d'un conflit entre deux ninjas. Mais ce geste qui semblait sûrement héroique avait ralentis ma mission en cours, et par conséquent, je l'avais raté. Ces derniers temps, je n'avais plus tellement d'amis. J'étais un chef ANBU du village de Iwa, un haut grade
me direz-vous, mais pas simple à gérer du tout. A cette époque là, je portais mes cheveux en l'air, mes cheveux d'un jaune pâle, puis, je portais un kimono noir, couvert d'une cape blanche, pas vraiment de classe, ce n'était pas trop mon style de porter ca, j'y étais contrains, cependant. Alors que je me levais, toujours allongé sur mon
lit, je tendais ma main, et chercher désespérement le réveil, les yeux fermés. Je touchais soudain quelque chose de dure. Bingo! C'était le réveil! Hourra ! J'allais profiter donc de ma sympathique et belle journée, qu'allais-je faire en premier? Tout d'abord, j'allais sûrement rendre une petite visite au café des sushis, là ou l'on servai du café...Et des sushis. Et quand j'y repensais, j'adorais relire le livre
sur l'invention du café, quand je repensais à Hiroshi Cafuki, ce ninja anglais, qui ne parlais pas le français, il avait découvert dans l'une de nos montagnes les ingrédiens pour préparer le café. Je ne pouvais m'empêcher de rire lorsque je lisais le livre, j'aimais quand même les histoires qui parlaient de choses invraisemblable mais pourtant réelles. Alors, qu'est-ce que j'allais faire pour la suite de la journée ? J'allais sûrement m'occuper en faisant quelques missions pour mon village. Et ensuite, pour la soirée, sûrement rendre visite à des civils du village. Ah, quand j'y repensais, à tous mes droits, je disais que j'avais vraiment de la liberté ! Je posais le premier pied à terre. Ouh ! C'était drôlement froid, je me dépêcha de me recouvrir, afin de sentir la délicieuse chaleur, le froid, ce n'était pas trop ce que j'aime. Bien aprés, je me décida à me réveiller, il devait être 11 heures et quart. Juste aprés, je me dirigea vers la seconde et dernière salle, c'est-à-dire la cuisine. Là-bas, je me préparais à manger, j'ouvrais doucement les placards, quand soudain, j'entendis tocker dans la porte. Je criais rapidement "J'arrive!J'arrive!", quand, au fur et à mesure du temps, je sentais le bruit plus fort. La personne qui souhaitait me rendre visite devait être drôlement pressé ! Je me dirigeais vers la porte, et j'ouvrais...